Plutôt que de prendre les problèmes à la source il vaut mieux, selon M. Macron, répartir les problèmes sur tout le territoire.
Le sociologue Michel Godet avait écrit en septembre 2001 : les constats sont connus… comment éviter la « Seine-Saint-Denisation » de l’île de France ». 20 ans après ce que veut le gouvernement, c’est la généralisation de ces phénomènes, des territoires perdus avec insécurité, violence, tiers-mondisation, chaque village aura bientôt son djihadiste plus ou moins repenti et ses « jeunes » bien connus des services de police. On marche, mais sur le tête!
La paisible Suède vient de tourner le dos à la social-démocratie qui, à force de vouloir à toute force créer une société multiculturelle, avait créé une société multiconflictuelle. L’Italie se prépare à en faire autant. Toujours pour les mêmes raisons profondes : les peuples ne se résignent pas à disparaître, c’est heureux. La France était sûre et paisible, elle ne l’est plus et les causes sont connus de tous. Y remédier est rapidement faisable, on connait d’où partent les trafiquants d’être humains, on sait où ils arrivent et le pouvoir laisse faire sous le poids d’une idéologie mondialiste qui abouti à des tragédies.
On sait que M. Macron a des problèmes avec le peuple français comme avec la culture française, mais les mêmes causes ne peuvent que produire les mêmes effets : une immigration massive non intégrée conduit partout à la violence – et, le plus souvent, à un changement radical de politique.
Comme le disait le président normal : « on assiste à une partition du territoire ». Pour l’actuel président, le « 93, il ne manque que la mer pour faire la Californie ». Il n’a jamais été très fort ni avec la géographie, ni avec l’histoire et encore moins avec la cohérence.
Cette politique folle de destruction de la nation française et de violence pour tous les français doit être combattue sans relâche.
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