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Comme un miroir inversé


Aujourd’hui 28 avril est l’anniversaire de la démission du Général de Gaulle après le référendum perdu de 1969. Comme un miroir inversé et abimé fin avril est aussi l’anniversaire de la réélection d’Emmanuel Macron à l’Elysée. C’est l’occasion de nous pencher sur son bilan.


Un abime sépare le restaurateur de la France de l’actuel fossoyeur


Ce qui est fascinant en ce domaine est le décalage entre la réalité que je perçois sur le terrain et dans les statistiques nationales et la vision des grands médias. À entendre ces derniers, tout irait pour le mieux : la France serait redevenue une grande puissance, écoutée dans le concert international ; l’économie se porterait à merveille, du moins mieux que chez nos concurrents : les étrangers se presseraient à nos portes pour investir dans l’économie française et le chômage reculerait à vue d’œil…


Au plan international, le « en même temps » est ravageur


Bien loin d’être une puissance d’équilibre, la France apparaît comme un pays velléitaire, ni fiable pour ses alliés ni menaçante pour ses adversaires. Nous devions mettre l’économie russe à genoux, mais c’est la nôtre qui souffre des sanctions.


Nous nous faisons chasser comme des malpropres d’Afrique après avoir payé le prix fort – y compris en vies de nos soldats – pour y préserver la paix. Pire, nous mettons un genou en terre devant des hommes comme le Rwandais Paul Kagame, qui ne manque jamais une occasion de traiter la France de complice des génocidaires – et ne semble pas outre mesure perturbé par les millions de morts et de viols perpétrés par ses amis au Kivu !


Au plan économique, la France n’a jamais été aussi fiscalisée, ni aussi endettée


Et il y a fort à parier que le recul du chômage doive davantage aux astuces statistiques et aux radiations forcées qu’à l’investissement des sociétés françaises. Quant aux investissements étrangers, combien d’entre eux sont réellement des investissements et combien de véritables vols de technologies stratégiques (comme on l’a vu avec la destruction de la filière nucléaire française qui s’est largement opérée sous l’autorité d’Emmanuel Macron) ?


Sur le plan social, la France est dans une situation pré-révolutionnaire


L’arrogance, le mépris et l’aveuglement des dirigeants macronistes – notamment dans la calamiteuse gestion du dossier des retraites – l’aggrave de jour en jour.


Il reste 4 ans. Si ce sont 4 ans de destruction de la France, ça va être très long. Mais nous pourrions peut-être enfin utiliser ce temps pour préparer un véritable projet de gouvernement pour les Français et de restauration de notre cher pays !


Reconstruire l’État, reconstruire la Démocratie, reconstruire la Nation.

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