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Finché c'è vita c'è speranza



Le gouvernement de Giorgia Meloni doit prêter serment ce samedi. Alors que les vierges effarouchées de la gauche radicale (qui n’ont jamais eu le moindre regret pour les dizaines de millions de morts du communisme) hurlent contre tout bon sens au retour du fascisme, cet événement est l’occasion de réfléchir à notre propre situation politique.

L’état de la France sur le plan de la sécurité, de l’économie et de la cohésion sociale étant bien pire que la situation italienne.

L’éclatante victoire de la coalition de droite est d’abord une victoire contre le politiquement correct : la droite italienne ne s’est pas sentie obligée d’adhérer à tous les délires de la gauche pour être « fréquentable ».

C’est aussi une victoire de l’union : bien sûr qu’il y a de grandes différences entre Forza Italia, la Lega et Fratelli d’Italia, mais beaucoup moins qu’entre les composantes de la gauche et surtout beaucoup moins que de sujets essentiels d’accord. Les buts poursuivis sont de défendre le bien commun et retrouver la maîtrise de son destin en tant que nation. Qui peut-être contre?

Pourquoi ne sommes-nous pas, dans la droite française, capables de discuter ensemble, alors que nous sommes globalement d’accord pour considérer qu’il faut restaurer au plus vite l’autorité de l’Etat, les libertés et le respect de la nature humaine si malmenée par les wokistes ?

Ne voit-on pas que ces sujets sont nettement plus centraux que toutes nos petites divergences ? Et ne voit-on pas l’urgence de nous unir pour sauver la France de la disparition ?

Si l’on songe que nos mesquines divisions sont la cause prochaine de la réélection d’un président qui, manifestement, n’aime ni la France ni les Français et qui, en tout cas, est ultra-minoritaire dans le pays (alors que les idées de droite sont désormais nettement majoritaires), comment ne pas applaudir le magnifique exemple que nous montre la droite italienne. Saurons-nous lui emboîter le pas ?

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