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Photo du rédacteurSébastien Meurant

La fin du nouveau monde



L’élection présidentielle aurait dû être le grand moment démocratique que les Français attendaient : porter un regard critique sur la situation du pays, sur le bilan d’Emmanuel Macron et surtout un débat sur l’avenir de la France. Ce débat n’a pas eu lieu.

Le Président sortant a profité des tensions internationales pour faire l’impasse sur le bilan de son premier quinquennat : l’ensauvagement de notre pays, l’immigration galopante, une dette publique insolente, un système de santé à bout de souffle, la multiplication des scandales politiques, le dictat du wokisme, sans compter la perte de notre indépendance énergétique. N’en déplaise à ses électeurs, Emmanuel Macron n’a rien d’un Président de droite. Il a été réélu Président de la République non par un vote d’adhésion, mais par un vote de rejet érigeant l’abstention en tant que grande gagnante de cette élection.


Avec les élections législatives, les français ont dit stop à cinq ans de présidentialisme exacerbé qui avait fait table rase des autres pouvoirs. Le président n’a pas la majorité à l’Assemblée nationale. Cette situation politique est inédite et la situation économique et sociale est objectivement catastrophique : communautarisme, pauvreté, déliquescence des services publics malgré des prélèvements obligatoires excessifs, bientôt 3000 milliards de dettes et déficit commercial record de plus de 100 milliards... le « quoi qu’il en coute » va finir par nous couter très cher, la communication enjôleuse ne suffira plus à masquer le retour du réel et l’atterrissage va être douloureux.

Pour ma part, je continuerai à défendre la liberté, et je souhaite que nous portions l’espoir. Comme le disait le Général de Gaulle : « la fin de l’espoir est le commencement de la mort », il nous incombe à tous de l’entretenir. À vous qui êtes en première ligne je vous souhaite bon courage, vous pouvez compter sur moi.



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