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Emeutes : comment peut-on tolérer ça ?


Depuis deux jours, les « quartiers sensibles », comme on dit par euphémisme (et qui sont désormais des centaines sur tout le territoire métropolitain), s’embrasent, au propre comme au figuré, soi-disant pour protester contre la mort d’un jeune homme abattu par un policier.


« Ceux qui ont voulu « américaniser » de force la société française ont réussi au-delà de toutes leurs espérances »


Désormais, alors que la France est probablement le pays le moins raciste du monde, il est de bon ton d’étudier n’importe quelle actualité sous le prisme racial et de dénoncer la prétendue « violence systémique » des forces de l’ordre, comme aux Etats-Unis.


La réalité, c’est que, d’après ce que nous savons, le jeune qui a malheureusement été tué, était un délinquant : il conduisait une voiture à 17 ans et a refusé d’obtempérer aux ordres de la police. Cela n’excuse certes pas tout, mais il est insupportable de supposer, avant toute enquête, que le policier qui a tiré était un meurtrier, agressant par passion raciste un jeune innocent.


« Qui va encore vouloir être policier demain ? »


Non seulement, les racailles d’extrême gauche ont donné son adresse sur les réseaux sociaux, appelant implicitement aux « représailles » contre la famille, mais le gouvernement – y compris et d’abord M. Darmanin – l’a déjà condamné, avant même que l’enquête ait pu commencer.


Ajoutons que les forces de l’ordre, appelées en renforts pour limiter au maximum les conséquences désastreuses ces nuits d’émeutes, sont privées de tout – j’ai reçu dans mon département le témoignage d’un commissariat qui avait dû aller chercher des munitions dans la ville voisine. Non seulement les forces de l’ordre sont jetées en pâture aux hyènes médiatiques par leur hiérarchie (et même parfois contraints d’affronter sans avoir le droit de riposter des lyncheurs physiques car, depuis deux jours, on ne compte plus les policiers attaqués par des « jeunes »), mais, en plus, on les prive des moyens de maintenir un ordre fragile.

« Pendant ce temps, les mairies sont attaquées, les voitures brûlent par centaines »

Osera-t-on enfin ouvrir les yeux sur les conséquences catastrophiques des politiques anti-françaises menées depuis des décennies, notamment en termes d’immigration non assimilée, de repentance unilatérale, ou de laxisme judiciaire ?


Voici quelques années, Gérard Collomb, quittant la place Beauvau, constatait que les diverses « communautés » vivaient « côte à côte » sur le territoire national et craignait que, bientôt, nous ne soyons « face à face ». Nous y sommes, mais M. Darmanin continue à faire mine de croire que twitter peut efficacement remplacer l’action politique !

Pendant des siècles, en France, la sévérité de la justice accompagnait et protégeait les libertés nombreuses des Français respectueux des lois. Désormais, le laxisme judiciaire s’accompagne d’un arbitraire et d’une privation de plus en plus vaste de nos libertés.

Quand allons-nous réagir et nous réveiller ?


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